Rejouer l'Histoire
L’Histoire commence à ce qui s’est passé hier.
Cette rubrique est
destinée à mettre le doigt où çà fait mal. Ces instants de l’Histoire qu’il
serait bon d’oublier parce que leurs auteurs font un peu triste figure. Le
choix du sujet ne fait l’objet d’aucune
préméditation. Le hasard, l’humeur ou la fantaisie du moment en sont les seuls
moteurs. Sans soucis de respecter une quelconque chronologie.
L’étalage
des faits au jour le jour, c’est de l’information, et çà exclu toute
interprétation possible d’un ensemble de ces faits. Il est donc dangereux de
vouloir, dans le feu de l’actualité, tirer une moralité ou désigner des coupables.
Lorsqu’une « moralité » a été tirée de faits d’actualité, il devient
difficile de corriger une fausse interprétation. Le Maccarthysme n’est jamais
loin de cette précipitation.
La notion
du « politiquement correct » est une censure de l’obédience politique
dominante. On ne parle pas à un gouvernement de ses goulags, la Sibérie pour
l’URSS, ni Guantanamo pour les USA. C’est politiquement incorrect.
Il n’y a
que le « véridiquement correct » qui soit intéressant.
Le but de Rejouer l’Histoire, c’est précisément
de lever le coin du tapis, là où la bonne a planqué les ordures.
Avant de vouloir trouver dans certains propos du racisme, de l’antisémitisme,
de l’anti-truc ou du pro-machin. Il faut savoir qu’il y a un principe
sociologique intangible :
Quelque
soit la manière dont on veut découper la société, on trouvera toujours la même
proportion de saints et de salauds, d’honnêtes gens ou d’escrocs, de cerveaux ou de
crétins ; et toutes les autres oppositions sont aussi démontrable. Que la
société soit découpée selon les tranches d’âge, les niveaux d’études, les
professions, les religions, les sexes, quelques soient les critères de découpe.
Cette règle ne déroge jamais, à une exception
près :
Il y a des professions qui attirent
certaines déviances :
Curés,
moniteurs de jeunesse pour des tendances pédophiles.
Les professions d’autorité et de répression pour les tendances sadiques ou
dominatrices violentes.
Les gens imbus d’eux-mêmes dans la politique.
Il s’agit bien sûr d’un taux plus élevé que la moyenne générale et non d’une
généralité.
Fort de ce
principe, il n’y a aucune raison pour éviter un sujet sous prétextes que les
associations religieuses (ou autres) concernées vont grimper les murs.
Il est
toujours possible que des faits ignorés infirme (ou confirme) une analyse de
situation faite sur ce blog. Ce qui ne veut pas dire qu’un fait qui n’a pas été
relaté soit ignoré. Chaque fait de l’Histoire serait prétexte à des tonnes de
papier s’il fallait tout voir, tout dire et tout montrer…. Donc si un fait
objectif infirme, ou confirme, un propos de ce blog, merci de le dire. Les
commentaires ne sont publiés qu’après lecture. Les propos seulement
polémiques ou visant à discréditer toute
remise en cause d’une interprétation, sans justifications, n’ont que peu de
chance de passer.
Maman, c’est quoi le révisionnisme ?
Vouloir nier la réalité
des camps d’extermination nazis, c’est du révisionnisme.
Prétendre qu’avant la libération des camps, les Alliés ignoraient tout, c’est
ne pas assumer le cynisme qui a prévalu durant la guerre, parce qu’ils savaient
parfaitement ce qui s’y passait :
1° Par les
groupes de résistances des pays occupés.
2° Parce
que les Anglais avaient découvert la clé du code secret des Allemands.
3° Parce que des prêtres savaient et qu’ils ont voulu le dire.
Amen .
C’est donc aussi du révisionnisme, et de la pire espèce.
Pas question de nier des faits effectifs, au contraire,
il s’agit de ne point en écarter sous prétexte « qu’ils n’entrent pas dans
le cadre de l’explication officielle ».
Lorsque des politiciens interprètent l’Histoire, ce n’est que pour la censurer
et la scléroser. D’où les notions de révisionnisme et de politiquement correct.
Il
ne faudrait tout de même pas qu'un chieur d'historien vienne démonter
la "combinatione" mise au point par l'industrie et les politiciens...
La guerre de 14-18 est exemplaire dans le genre...
L’Histoire au garde-à-vous.
Ne pas accepter de réinterpréter l’Histoire, c’est la mettre au service d’une idéologie. Nier ou déformer des faits réels, c’est mentir.