Il y a le Ciel, le Soleil et l’Amer….
Le Ciel nous prodigue ses caprices au gré de sa
fantaisie et nous permet de mesurer notre bonheur à ne pas être sa victime
lorsqu’il va se fâcher ailleurs.
Dans cet ailleurs fait du je-m’en-foutisme de certains, d’égoïsme de quelques
autres et d’imprécautions généralisées.
Le Soleil et ses méfaits. Sur le plan individuel, le plus important est
sans conteste le mélanome malin qui dégénère si facilement en cancer
généralisé.
On subit chaque année moult mises en garde, dont
l’absurdité le dispute à la vénalité.
S’il n’y avait pas d’autres facteurs déterminants dans ces affections, comment expliquer
que les personnes les plus exposées ne sont pas recordmans de ces cancers, bien
au contraire.
Les paysans et les ouvriers du bâtiment ne manquent aucunes des heures
d’activité de Phoebus. Souvent, ils tombent la chemise parce que mouillées de
transpiration, elle entrave la liberté de mouvement.
Pour le commun des mortels travaillant en milieu
climatisé, durant son exposition à l’air libre, et malgré le complet-cravate,
ses mains et son visage sont pleinement exposés, la burqa n’étant pas encore
généralisée,.. Or les mélanomes sur le visage et les mains sont moins courants
que sur le reste du corps…
Pourquoi donc ?
Est-ce
si insignifiant que çà pour que personne ne se préoccupe de la chose ?
De plus en plus d’études le démontrent, un des facteurs déclenchant des cancers
est un choc (physique ou psychologique).
Dès qu’il faut beau, je me mets en tenue de bain car j’aime le soleil. La
luminothérapie est un facteur anti-dépression. (Les dépressions de printemps
sont le fait du manque de lumière durant
l’hiver).
Mon premier bain de soleil de l’année était à fin………février, et le dernier de
2009 au début décembre.
La peau s’habitue au soleil alors que ce dernier doit passer un filtre
(l’atmosphère terrestre) 3 fois plus épais que durant l’été. C’est donc avec
une douce caresse que la peau est invitée à produire davantage de mélatonine,
qui est le filtre individuel et qui ne se dissout pas dans l’eau de mer….
Et pas fou tout de même parce que j’en ai la possibilité (contrairement à ceux
qui travaillent dehors), je fais des tâches à l’ombre aux heures les plus
chaudes. Mais surtout, je m’expose à MON soleil, celui de MA latitude de vie,
auquel je suis habitué durant toute l’année.
Hier habillé, aujourd’hui en tenue de bain, je suis sous un soleil qui a
le même angle sur l’horizon, la même force parce qu’il traverse la même couche
atmosphérique.
Il n’y a pas de choc, ni thermique, ni dans la quantité d’UV absorbés.
Lorsqu’on a soigneusement évité le soleil de Lille durant 11 mois et demi et
que brusquement on joue les steaks sur la Côte d’Azur, il est encore heureux de
ne pas se retrouver grillé à cœur.
Parce que le soleil et l’air dessèche la peau, j’utilise du Monoï bio,
sans adjuvants.
L’Amer, c’est de taire délibérément ce constat et
de remplacer la progressivité de l’exposition par des produits cosmétiques dont
le rapport de bénéfice brut au prix de vente à la gogotèle ridiculise la
profession de Trader.
Le prix payé par le consommateur est plusieurs milliers de % plus élevé
que le prix de revient. C’est peut-être ce qui explique la fortune et les
largesses de Madame Bettencourt…..
Mais l’argent n’est qu’un travers qu’une révolution remet à plat sans
conséquences fâcheuses.
L’indice de protection des crèmes solaires est fonction de la quantité
d’hormones féminines de synthèse qu’elle contient. Hormis avec le napalm, ces
hormones sont indestructibles.
En se tartinant réglementairement toutes les deux heures, une famille vide sa bouteille chaque jour (ce qui lui
permet de ne pas s’encombrer d’elle au retour de la plage).
Comme réglementairement toujours, les produits cosmétiques n’ont pas le droit
de pénétrer la barrière cutanée, si ils disparaissent en deux heures, périodes
de renouvellement obligatoire, c’est que ces crèmes solaires sont diluées dans
l’eau de mer.
On constate actuellement une
« féminisation » des poissons. Moins de mâles qui produisent moins de
semence et qui débouche sur moins de reproduction.
C’est aussi ce que vivent les humains parce que
la pilule contraceptive n’est pas métabolisée par la femme et se retrouve dans
le cycle des eaux usées, épurées (mais pas de ses hormones), remisent dans les
nappes phréatiques, puis re-pompées avec ces hormones toujours présentes et
re-consommées par la population, mâles
compris, dont les corps se féminisent de plus en plus et qui ont déjà perdus la
moitié de la concentration de leurs spermatozoïdes.
Moralité : Qu’est-ce que tu veux fabriquer des bombes nucléaires,
la chimie pharmaceutique et cosmétique est plus efficace que la bombe à
neutron.
D’accord, c’est moins rapide, mais c’est la victime
qui paie.
Blutch.